LA PRÉSENCE ÉGYPTIÉNNE DANS ALMUÑÉCAR (GRENADE)
DANS LE SUD DE LA PROVINCE DE GRANADE. L’ESPAGNE
Dr. Antonio Ruiz Fernández
Professeur au Lycée
Almuñécar, située au Sud de la province de Grenade, en l’Espagne, a apportée à l’ amas culturel qu’ établit un rapport avec la civilisation égiptienne, un enchainement des indices qui, en complétant le plus, suivant sa catégorie, quelques creux presque inconnus sur l’Hitoire de l’Égypte, sans doute, dans ce moment, fait le rôl des impositions par son abondance et sa varieté de restes archéologiques dans l’ ourlet côtier de l’Espagne et dan intérieur péninsulaire, de même que si également on rapporte avec les restes de localisations archéologiques jusqu’ à ce moment étudiée le long et large de ce qui constitue la carte archéologique de la Méditerranée et quelque partie de l’Atlantique de Maroc.
Avec cela on ne se brigue pas de dogmatiser la primauté d’Almuñécar, catégoriquement, sur d’autres centres qui aussi ont apporté des trousseaux rapportés avec le monde culturel égyptien.
Semblablement, en arrive dans le travaux faits par Bonsor à Carmona (Séville, l’Espagne): ce centre apporte sa colaboration dans la reconstruction de ce qui a pu être un échange mutiel de la culture mediate, clairement, par le mouvement commercial phénicien.
Évidemment nous ne en pouvons parler sur une colonisation égyptienne en l’Espagne et certainement en Almuñécar, où on a enregistrée, par moment, une collection la plus surprenante des objets égyptiens.
Mais il est un peu singulier et rare que cette ville soit’elle, pas rengée comme place de catégorie stratégique et militaire, cette que régistre des indices vraiment importants, comme on pourra voir plus en avant, et que des colonies phéniciennes comme Motye, Utique, Carthage, Cádiz etc n’ offrissent pas leurs excavations des vases comme dans Almuñécar.
Les albâtres ont apparu aux places diverses du Sud de l’Espagne, mais d’une manière ordonée et méthodique, comme la nécropole «Laurita» d’Almuñécar, pas encore.
Cette ville a donné à la culture orientale deux apports très impostants: la nécropole phénicienne du «Cerro de San Cristóbal» et, d’autre part, une nouvelle por excaver dans l’intérieur du térrotoire qui nous a offrie une typologie de vase de laquelle jusqu’ au moment on connaît bien peu. En ce qui concerne la ville d’Almuñécar, il faut dire que sa fondation est phénicienne presque certainement, bien qu’il n’y a pas de données urbaines.
Les témoignages dans cet affirmation nous en offrent les gisements archéologiques. Des nouvelles fouilles sont sur le point et mettre en évidence que l’assignation de la ville phénicienne originaire n’ a pas pris la place qui jusqu’ à présent a été admis.
Bientot nous connaîtrons des nouvelles sur la situation ou une des possibles lieux qui a pu avoir la colonie SKS (Seks), en latin Sexsi dans les siècles précédents la domination romaine.
Dans le témoignages archéologiques que nous ont donné les gisements de Sks, nous pouvons citer, en suivant, la chronologie de son apparence, éléments que nous avons:
1.- Documents historiques sur les découvertes avec des tombes et des trousseaux d’ égyptisation.
2.- Une étude sur les materiaux de la nécropole phénicienne du «Cerro de San Cristóbal».
3.-Un découvert d’un neuf type de vase égyptienne, de place inconnue.
4.- Des petites tailles appartenant à une typologie représentative de personnage de caractère divin égyptien.
Tous ces données nous montrent qu’ elles son le produit d’un contac intense de tipe commercial entre les phéniciens et le monde oriental égyptien dans la typologie et les caractéritiques des pièces trouvées.
MANUSCRITO DE ALMUÑÉCAR
«Cette ville avait besoin grand de construire une Église où ses fidèles pourraient assister à ses offices divins.
L’ Église qu’y avait, etait pétite et son bâtiment pas trés sûr.
Cette question a été discutée avec le Prélat qui, en avant reconnu que ça qu’on voulait était juste, et a parlé sur cette construction. Le travail a commencé immédiatement, suivant jusqu à l’en avoir réussie. Quand l’ouvre avait finie, en considérant que, ou par l’âpreté du lieu, ou par les matériaux qui avaient tombé, on trata d’en aplanir, en faisant devant une petite place pour soulagement.
D’en on chargea Gregorio Meléndez, voisin de cette ville, qui rabaissa du terrain pensant quelques jours. Un d’eux, en piquant des pierres qui surpassaient, pour aplanir, près de la porte de l’église qui s’appelle du Soleil, avec le pic se fit une incision, et sonnan en vide, ils commencèrent crier, trèsor¡ il en répé tant, beaucoup de fois.
Le juge éclesiastique comprit qu’il en avait quoi orner sa nouvelle église, et d’autre partie, l’ouvrier pensait qu’il s’en ferait riche.
Ils accourrièrent l’ un avec son notaire, l’autre avec son écrivain, mais pour tous ces prétensións furent faux.
On continua dans le découverte du trèsor et eux succeda ça que dit Lob: «Comment ceux qui cherchent un trèsor, ils trouven une tombe».
En éffet, ils trouvèrent une tombe qui était en voûte carrés, de quatre aunes de long, excavés en roc, et dessus, de pierres de tailles labourées.
Les carreaux pour carreler était aussi mince qu’ elle se démarra prèsque toute cassés san s’en profiter aucune.
Les pierres des murs étaient très justes et elles étaient plus grosses, et plusieur d’eux se garden aujourd’hui dans le façades de deux voisins de cette ville. Elles sont comme pierre-tuf, pas aussi poreusses et légères, mais un peu plus fermées et dures.
On trouva dedans une boîte en bois qui, comme on a reconnu, elle semblait en mûrier, par être moins assujettie à la corruption; avec de clous dorés déja défaits, et dedans un corps humain de démesurée grandeur qui, bien que le temps l’avait consumé pas seulement les robes mais aussi les os; pourtant il a été reconnu par la terre ou poudre qu’il y était, il semblait avoir été de corp humain ce qu’on y avait inhumé, et particulierment quelques os des doits qui n’étaient pas si défaits, ils donaient des preuves de sa grandeur.
Quand ils l’inhumèrent, lui mirent à côté une épés large qui, la prenan, se changea en morceaux minces; et pourtout on conservait la rouille et la forme d’épée.
On trouva ausssi une diadème en argent, et deux jarres grosses en boue blanc, une à chaque côté.
Dans la partie qui semblait tomber sur la poitrine on virent deux bagues en grossière façon, grosses et lourds avec deux pierres, l’une bleue et l’autre rouge.
Il y étaient dans les pierres émaillées, certains disent deux, les autres trois scarabées».
Dans les chapitres posterieurs, l’auteur de cet éphémerides d’ Almuñécar, ajoute: » Le materiel duquel ils étaient faits les bagues c’était l’or».
On fait aussi allusion à une pierre qui átait enchâssée dans un mur de la tombe et dans laquelle on porrait voir la figure d’un homme en regardant la Lune.
Au commentaire sur le trousseau funéraire composant de l’inhumation, il faut dire les suivantes annotations:
– La diadème en argent est une pièce décorative très utilisée dans la culture égyptienne. Mais ce n’écarte pas que les pheniciens aussi en utilissent.
– Les «jarres» en boue blanc peuvent être très bien deux vases en albâtre égyptiennes parce que dans cette fois le gens qui a découvert la tombe, ne féssait pas différence dans ce qu’est en albâtre et en boue.
L’ albâtre, je pense, il serait couverte avec des concretions calcaires causés par le poudre et l’humidité aux cours des annes.
Il peut-être que cettes vases eussent des inscriptions hiéroglyphiques qui ne seraient pas observées, dû à l’ignorance d’une lecture égyptissante et surtout à l’état de conservation des pièces.
La tombe se trouve en bas à côté de l’église d’ Almuñécar et nous croyons qu’elle a encore la forme primitive.
Par la description qu’on a fait sur elle, nous pouvon facilemente la trouver dans la même place indiquée par le chroniqueur de la ville.
Dans cette même coline, où est situé l’église, on a produit la nouvelle découverte de deux tombes de galerie et dont le caractères sont presque égaux à celle du chroniqueur.
En éffet, à propos des ouvres réalissées dans la même église, on a découvert au cours des années ’50, deux nouvelle tombes avec des galeries semblables à celles que nous avosns décrit en avant. Elles disposaient des escaliers labourées en pierre et elle avaient la forme d’une chambre quadrangulaire. J’ai été présente dans cette travaille.
Quand on fit la découvert, les ouvriers qu’y travailaient n’ annoncèrent pas l’ événement; ils pillèrent les tombes et on ne resta que les cendres.
Quand M. le prêtre savait la nouvelle, il commenda de tamiser les cendres pour extraire los bijoux que pouvaient y avoir. Mais il n’y avait plus que d’os.
Les trousseuax étaient disparu, évidemment saccagés par les ouvriers
Il faut dire aussi de ces emplacements que leur situation occupe un lieu très à propos pour ce type d’enterrements. Ces sont les monticules évidement, les lieux destinés et élus pour ce typologie de tombes.
D’autres de cette même typologie ont paru à Trayamar (Màlaga), et dans la même ville d’Almuñécar, et tous ont été saccagés et profanés dans ce village-ci jusqu’ à maintenant.
Matériaux égyptiens de la nécropole de la colline de San Cristóbal
L’excavation de cette nécropole a été fait sous la direction de M. le Docteur Pellicer Catalán.
Elle a lieu en 1.962 après la découverte de quelques tombes à propos d’un délardement de terrains pour le bâtiment de logements.
On n’a contabilisé que 20 tombes. Mais on croit bien sûr, qu’il y en a plus dans ce nécropole puisque la zone excavée appartient au bâtiment.
L’extension du terrain sans bâtir est plus grand que celui que nous avons étudié.
Materiaux égyptiens des tombes
1.- Deux vases cinéraires en albêtre avec une inscription hyéroglyphique et une cartuche de Takelot II.
2.- Une vase cinéraire en albâtre sans inscription.
3.- Deux vases cinéraires en albâtre. L’ une d’ eux a une inscription punique peinte. Il y avait aussi dans cette tombe un anneau d’argent avec une scarabée vasculant.
Les tombres 4 au 9 on été excavées par les ouvriers de l’ urbanisation et il n n’ y a pas de nouvelles de sa structure et les pièces se son perdues grâce à l’ ignorance intentionnelle de ces messieurs-là.
10.- Cette tombe a été localisée aussi par les ouvriers et probablemente l’ appartient une vase en albâtre fragmenté, en forme d’ oeuf comme une amphore.
11.- Elle a les mêmes caractéristiques que la dernière tombe. Son trouseau registre une amphore en forme d’ oeuf.
12.- Cette enregistre une vase en albâtre en forme d’ogive.
13.- Elle a une vase en albàtre en forme d’ oeuf.
14.- Elle a une vase en albàtre en forme d`oeuf allongé.
15.- Cette vase est comme la XIIIe. Elle enregistre de plus une inscription hyéroglyphique.
16.- Une vase cinéraire en albâtre, en forme d’ ouef. Elle a une inscription hiéroglyphique avec une cartouche qu’appartient au pharaon Chechomq II. Elle avait aussi un scarabée basculant enmarqué en or.
17.- Elle a une vase cinéraire en albâtre en forme d’oeuf. Elle a une gravure de la tête de Bes au milieu de deux cartouche de Osorkon II.
18.- Cette tombe on croit saccagée autrefois. Elle a suelement de céramiques fragmentées, faites à main et à tour. Peut-être cette tombe n’a pas été utilisée. Cela n’est pas drôle puisque dans une excavation que nous faison maintenant avec rigueur scientifique nous a surpris parce qu’elle n’offre que le trousseau cinéraire sans cadavre incinéré ni inhumé. Cependant elle a un trousseau typique et sans cadavre. Au contraire, la tombe 18 de la nécropole Laurita, seulement nous offre quelques décombres céramiques; c’est pour ça que nous pensons à une violation précédente ou, peut-être, contemporaine comme nous avons déjà observé.
19.- Elle nous montre une vase cinéraire en albâtre, en forme ovoîde allongée et une autre vase aussi en albâtre de type ovoîde.
20.- Elle a une vase en albâtre de type ovoîde. Elle a deux cartouches de Osorkon II. Elle a aussi un scarabée d’une pâte vitreuse verte et une inscription qu’ on peut lire.
Établissements théoriques sur ces materiaux
Dans un travail récent sur les materiaux puniques trouvés dans la débouché du fleuve Guadalhorce dans Málaga, on a distingué une partition très opportune de deux étapes dans le procès colonisateur d’Occidente et d’ une manière concrète au Sud de l’Espagne, en distinguant deux fases dans la colonisation, appuyées toujours dans les pièces achéologiques. D’abord on doit considérer une première époque dont les phéniciens apportent d’Orient tous les matérieux spécifiquement puniques fabriqués dans leurs métropoles respectives. et les matériaux commercialisés ou achetés aux autres peuples comme l’égytptien qui est celui qui nous affecte dans ce case.
La date de ces importations arrive jusqu’ à le VIIe siècle a. J, C.
Une deuxième étape est caracterisée par la fabrication des matériaux puniques dan la même colonie, c’est à dire, ils comencent apparaître des trousseaux autochtones, mais toujours en suivant au loin la typologie des caractères puniques.
Cette division a été établie par les professeurs A. Arribas et O. Arteaga de l’ Université de Grenade, puis un bon travail réalisé dans un gisement à la province de Málaga. La première étape c’est qu’en registre les pièces égytiennes de plus importance, si nous comparons la nécropole Laurita avec le gisement du Gualhorce. La date de la Laurita a été mise par les matériaux grecs.
Quoique ce soit ainsi, un étude posterieur de l’ inscription punique, peinte sur un vase en albâtre de la tombe 3, a mise un possible change de date pour tout le gisement. C’est M. Jean Ferron, du Musée archéologique de Carthage qui a fait cet étude-ci.
Un étude philologique peut éclairer quelques chosses inconnues, mais cette affaire n’est pas decisive quand nous avons une distance chronologique courte dans une langue qui évolue trop lentement.
Comme on a dit d’avantage, la première phase de la colonisation enregistrerait les apportes orientaux, aussi qu’en nous montre la chronologie. Ce ne veut pas dire que le commerce avec l’Orient se coupe d’uns manière brusque.
C’est vrai qu’ en des nouvaux gisements phéniciens, maintenan en excavation, la presence des objets orientaux et de typologie égyptienne en indiquent que le commerce et l’ échange mutuel avec la culture du Nil n’a pas disparus jusq’à une date rélativemente récente.
C`est le gisement que nos sommes en train d’excaver, celui qui nous offre d’ une partie une lampe grecque du VIe siècle (peut-être) a. J. C., comme d’ autre des monnaies puniques de plusieurs époques.
Cela veut dire que nous sommes dans un gisement archéologique qui nous montre un habitat utilisée succesivement par toutes les cultures qui ont passée pendant l’histoire antique de cette ville.
Nous avons ainsi une complexe trousseuax dans la nécroplole nommée par nous «Puente de Noy», où se trouvent succesivement: des matériaux puniques, grecs, romaines et, utilisées par le phéniciens, des petites exemplaires égyptiens certainement orientals.
Ètude du materiale égyptien
– Des vases en albâtre.
Ce qu’est le plus important de la nécropole Laurita et aussi le plus caractéristique, c’est l’utilisation des vases en albâtre comme d’urnes cinéraires, parce que la plupart d’elles avaient dedans des os humains incinérés.
Par moment cet utilisation comme des urnes cinéraires constitue un example unique, en établiant le premier précédent de tous les possibles découvertes qu’en, peut-être, se suiveront.
Nous ne connaisons pas des paralèles.
C’est á Carmona où il a apparu l’albâtre oriental et aussi dans quelques lieux isolés du Sud de l’Espagne.
Mais, comme on a dit au commencement, cela est la plus rare c’est la localisation. prèsque unique dans Almuñécar. entre toutes les colonies puniques de la Méditerranée. d’un ensamble si homogèn et typique et, par contre, des autres factories, comme, par éxample, Carthage n’en registre rien, beaucoup prochaine au monde égyptien; de même que Cádiz, l’héritiére de l’égémonie de Tartessos, et des autres colonies historiquement de plus importance que ‘Ex (en grec) ne montrent pas ni un seule gisement si devoué.
Les paralelles de ‘Ex se trouvent en Égypte et Samarie.
La provenance des vases cinéraires en albâtre de `Ex, selon Vercoutter, était de Memphis, parce que cette ville était un grand centre de fabrication en albâtre.
Les cartouches de trois pharaons appartiennent à la dynastie 22, IXe siècle a. J. C.: Osorkon II, chechonq II et Takelot II respectivement, dans des vases en albâtre des tombre 17 et 20, 16 et 1. Ceux-ci furent des pharaons rois sucessif.
– Des scarabées
Évidemment le scarabée a une provenance égyptienne. Il a été utilisé comme pièce de collier pendant ou de vague basculant. C’était d’orne et d’amulette qu’ on utilisait les scarabées. Sa présence dans des nombreuses tombes phénisiennes peut-être index d’antiquité. Son existence s’ écoule depuis le VIIIe siècle jusqu’ à IIIe a. J. C.
Les paralèlles de ces scarabées se trouvent en Utique, Rachgoun, Junon, dans les tombes de Dermech et de Douîmes,
En Espagne ils sont apparus aussi dans les «Astilleros de Cádiz», les «Glacis» et «Punta de Vaca» dans la nécropole de la «Cruz del Negro» à Carmona.
DECOUVERTE D’UNE NOUVELLE PIÈCE ÉGYPTIENNE DANS ‘EX
On a trouvé une case toute différente il y a prèsque 40 ans dans ‘Ex. Cette fois n’est pas en albâtre, mais en marbre gris veiné (¿?). (Mais on pense aussi en quartz volcanique, existent au sud de l’Égipte), malgré l’opinion des autres auteurs. On n’a fait aucun étude sérieux en laboratoire).
Cette pièce n’a pu pas être localisé dans l’espace auquel nous pensons qu’elle dévrait avoir sa nécropole respective. On a fait de notre part, des investigations pour rechercher leur point de provenance.
Seulement on sait qu’elle a été trouve à peu près 5 k vers l’intérieur de la région d’Almuñécar à propos de l’excavation des cimentes d’une ferme dans le champ. Mais nos savons que le lieu où elle est apparue, c’est la même où se trove la nécrople Laurita. On ignore le trousseuax contextuel. Ce qui l’a trouvé nous dit qu’il n’y avait rien autour de l’amphore. Mais je ne croit rien du tout.
On n’a pas pu savoir qui était éxactement la ferme.
La typologie de cette vase est par moment unique. Peut-être que le matériel soit le quartz volcanique avec des inscrustations d’autres sortes de rocs. Sa dureté est à peu près dans la chiffre 8 du barème de Mohs.
L’inscription en caractères hiéroglyphiques est située sur le surface circulaire de la bouche de l’amphore. La tradution a été faite par le Professeur Jean Leclan. Il est venue chez-moi despuis Paris pour voir la pièce avec le propiétaire, chez-lui, et faire le premier lecture de la même. Nous en ajoutons au final une lettre personel où on expose la première opinion philologique.
Le cartouche appartient au pharaon Aa-ouser-Rê Apopi, penultième de la XVIe dynastie, l’ époque des envahisseurs hyksos, dont la chronologie on remente aux années 1.595-1.550 a. J. C. Ce pharaon fut roi pendant le deuxième période intermédiaire.
En 1.954, la découverte d’une stéle à Karnak a permis d’établir que Aa-ouser-Rê Apopi, juste au départ des guerres de liberations de l’Égypte, un peu en avant 1.580 à. J. C.
Dans le nom de Aa-ouser-Rê peut entrer un idéograme très curieux por wsr attesté par ce nouveau document.. On ne connaît que très peu de monuments de ce roi et c’est donc particulièrement précieux.
Les inscriptions de l’amphore indiquent près de son nom celui d’une princesse, une «soeur de roi», nommée t3w3t, ce que l’on pourrait vocaliser «Tjaouat».
Celle-ci ne samble pas autrement connue.
On note cependant une autre «soeur royale» hyksos, «Ta(ou)ny; deux monuments à ce nom sont publiés par W. K. Simpson.
On trouve aussi mention d’une «fille roiyale», «Hery» ou «Herty» associée à Aousserre sur un fragment de vase en albâtre recueilli à Thèbes par Henry Carter et conservé au Metropolitan Museum de New-York.
Bien entandu se pose la question du trayet suivi par l’amphore.
Cette vase a pu être transportée en Syro-Palestine lors de la retraite des hyksos d’Égypte. Regnait aussi sur la Syro-Palestine ce pharaon vers 1.580. a. J, C.
Comment y est-elle resté près d’un millénaire, avant d’ être réexpediée par les phéniciens vers l’Occident dans des lots semblables à ceux qui ont apporté à Almuñécar les vases aux noms de Shechonq ou Osorkon. Quel magnifique problème historique!
Nous savons que les phéniciens étaient excelents navigants et, peut-être, ces qui mieux connesaient les routes de navigaction vers l’Occident.
De tout ça on ne peut détacher une consèquance, d’une manière certaine, logisienne: l’arrivée de ce type d’amphore pauvait avoir en lieu dans une époque antérieure à celle de la nécropole Laurita parce que les phéniciens étaient vasseaux d’Apophis IIIe, frère d`Ahmé, et qu’il a été vaincu par les égyptiens deu fois, et l’échange commerciel avec de nouveaux peuples, constituaient l’objectif primordial de ce gens éminemment marine.
Le problème le plus serieux ou la difficulté la plus difficile c’est l’obsence de trousseuax secondaire qui nous puisse dater avec plus de sécurité la date aprochée de l’ arrivée à ce lieu, d’un treousseux si original.
Le deuxième problème nous en propose ce-ci de ne pas avoir des paraléles qu’ indiquent une continuité, le fait de que cette soit prèsque exclusivement Almuñécar laquelle enregistre le plus nombreux amas de ces précieux documents. Ce nous met à nous faire de questions un peu presontueux: aussi grosse et d’une catégorie fut la colonisation phénicienne d’Almuñécar?
Y a-t-il des possibilités d’admetre des expeditions mixtes phéniciennes-égyptiennes?
On connaît des periples de circumnavigations égyptiennes depuis la Mer Rouge-Côte africaine-Atlantique, en retournant par la Méditerranée.
Le contac mixte a pu être possible, mais encore pas probable, bien que jusqu’à ce moment nous navons pas de preuves.
Finalement, dans les nouvelles excavations que nous faisons à la colline de Puente de Noi a commencée paraître des vestiges égyptissants, produits du change commecial.
Celles-ci sont de petites figures en ivoire où nous pouvons une taille de faucon que peut-être une représentation du dieu Horus.
La deuxième nous offre une figure en demie corps d’une personnage avec une bonnet en capuchon de forme conique de base irregulière. Elle est aussi taillée en ivoire.
Pour la prochaine excavation nous avons l’espoir d’augmenter les trouvailles dû a la richesse archéologique de ce gisement.
Nous devons dire, au rapport, que la typologie du habitat que juxtapose et cumule avec les tombes nous a troublé: Nous sommes en train de trouver de formes de habitats taillées en roc. De tous façon, nous nosons pas definir ce que nous avons découvert.
Maintenant, la deuxième phase de l’excavation où nous avons faits un premier coupure de jusqu’à 4.5 m de puissance, et en surface, de 5.5 m x m. nous a montré quelque chose qui aussi n’a pas de précedent dans l’archèologie phénicienne. Par ce motive, nous ne voulons rien dire. On va faire un coupure à peu près de 150 m carrés et jusqu’à ce moment, nous ne definirons pas ce découvert, avec sa nouvelle typologie que nous a affri l’énigmatique ville d’Almuñécar.
RÉLATION DU MATÉRIEL ÉGYPTIEN TROUVÉ DANS CERRO DE SAN CRISTÓBAL SUR LA NÉCROPOLE LAURITA.
Voici la première version original du texte de l’ amphore du pharaon Apophis, faite par le Professeur Jean Leclant dans la même maison du propriétaire de la pièce près de la nécropole Laurita dans Almuñécar.
L’ amphore du pharaon Apophis avant de sa restauration chez le premier propiétaire.
MATERIAUX DE LA NÉCROPOLE PHÉNICIENNE PUENTE DEL NOI
ALMUÑÉCAR (Grenade)
Le gisement où se trouvent nombreux éléments de la Culture de l’Argar, on connue comme Monte de Velilla, dans la ville d’Almuñécar (Grenade). Là appartiennent beaucoup des scarabées qu’on peuvent ici voir.
Dans cette montagne il y a une grande mélange, parce que nous pouvons trouver sur la même: des éléments romains, ibériques, phéniciens et égyptiens etc., comme un «totum revolutum» produit par le travail agricole pendant beaucoup d’annés. Ça explique la situation courante de l’archéologíe dans la ville d’Almuñécar.
Mais cela nous apporte à une conclusion final: L’archéologie de ce lieu es très complexe pour arriver à une conclusion finale.
BIBLIOGRAPHIE GÉNÉRALE
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